A lire sans relache les pionniers, j’ai nommé Philippe Diolé, vous prend soudain l’envie de renouer avec cette plongée d’antan, quand les « hommes grenouilles » se comptaient sur les doigts d’une palme. Quand pour découvrir le bleu de la Méditerranée il n’y avait d’autre recours que de plonger du bord, à l’aventure…
C’est ainsi que nous nous sommes retrouvés par une belle après midi, à l’ouest de Marseille, dans la calanque de l’Escalette au débouché de laquelle je connaissais un petit sec charmant.
Grand soleil, temps clair, à peine si un vent léger hésitant entre mistral et tramontane venait rider la surface de l’eau bleue…
Mare Nostrum
Un mini port en contrebas de la route, 3 bateaux, un restaurant à l’abandon, et quelques mètres carrés d’eau claire… Un escalier souterrain permet en principe d’accéder à ce port caché mais voilà, harnachés comme des baudets, nous trouvions un porte. Fermée, comme il se doit. Jurons, détours, et accès encore plus « commando » au travers des pièges calcaires de la calanque. Renouer avec le passé oui, mais en 50 ans, la chair s’est amollie et nous avons revêtu des 7mm en guise de « chandail »… A 50 m du bord, la roche affleure et offre des petits tombants jusqu’à une quinzaine de mètres de profondeur. Bancs de castagnoles, de sars, de saupes (qui peux !) et des gorgones plutôt abondantes, des girelles, des tuniciers et autres gobies : de quoi singer de plus prestigieuses plongées… Et soudain, au détour de la roche moussue, cette vision : la Méditerranée éternelle…
cette photo est un appel à la rêverie depuis le gris de la banlieue parisienne, d’un côté la fenêtre ouverte avec ce bruit, l’agitation, les véhicules d’urgence, la morosité d’une zone d’activité… et de l’autre cette paisible image, on entend presque sa respiration dans son détendeur… quel contraste ! Mais la lumière est à portée de main et ses traits invitent à regagner la surface, mais pas trop vite, rien ne presse après tout, la fenêtre peut attendre 😉
merci 🙂
Bien vu Olivier ! Ce n’était qu’une petite plongée pour tester du matériel mais c’est vrai que cette vision m’a frappée. J’ai déclenché…
A l’attention de Francis Leguen
pour les escaliers de l’Escalette il y a une entrer c’est le petit port mon beau père vie au dessus
je connais très bien le lieu car la photographie sous-marine que vous avez prie un peu plus bas il y a une petite arche sympa pour un artiste peintre sous la mer , le site est trés intèressant est la photographies m’intéresse pour mettre sur mon site internet si bien sur vous m’en donner l’autorisation
dans l’attente de votre réponse je vous pries d’agréer monsieur leguen mes sentiment distinguer
thierry lefèvre peintre sous la mer
Pas de problème Thierry, et bienvenue ici ! Donnez nous l’adresse de votre web : Peintre sous la mer, voilà qui devrait intéresser nos lecteurs.
salut francis , je te remercie pour la photos du sécant al’Escalette.
mon site est cyana sub-art pour aller sur le site :
tu frappe google est tu marque thierry lefèvre peintre sous la mer.
tu va tomber sur la page aqua web réaliser par denis jeant
sur la page il y a plusieur peintre sous la mer je suis juste en dessous André Laban , j’ai comme amis des anciens de l’équipe cousteau comme le chef plongeur Raymond coll , bebert falco ainsi jacques Dumery anciens instructeur de l’inpp .
voilà mon parcourt de plongeur je peint a des profondeurs variant de 5 a 30 mètres de profondeur j’ai réaliser comme épave le liban , le dalton , meserchmitt , chaouen , le b17 a calvi en corse si tu peux aller voir le site que mon ami vic marti ma réaliser dit moi se que tu en pensse a+ merci encore pour la photo du sécant a+ thierry
J’ai été voir le site. J’aime beaucoup « La vague »… Je ne suis pas peintre moi-même mais issu d’une famille d’artistes. Quant aux noms que tu cites, je les connais aussi, au moins de réputation ! Nous croiserons peut-être le pinceau et le flash un jour…
Bonjour,
Message à l’intention de Thierry Lefèvre :
J’ai perdu la trace d’un ancien compagnon de plongée qui, étant jeune traversait un pont pour aller à l’école. Sous ce pont, il y avait un scaphandrier lourd qui exerçait son métier. Jacques abandonna l’école et resta tenir le narguilé de ce scaphandrier. Bien plus tard, lui même, coincé sous une péniche avec son casque, eu tout le temps de penser à ce choix de vie : la plongée.
J’aimerais bien retrouvé le contact de Jacques Dumery. Je suis très loin, dans le Pacifique Sud, mais je pense souvent à ses amphores qu’il venait visiter entre deux plongées à l’INPP ; le jour où je les lui ai cachées, il n’était pas content !
Thierry, serait-il possible de me donner le contact de Jacques, ou de lui passer le mien. J’étais à l’INPP avec lui en 1986… C’est-à-dire hier !
Amicalement, merci.
raoul@abcdiving.com