Playa, j’y suis, j’y reste ! C’est sur cette phrase définitive que je me lève aux aurores. Sur la terrasse, le hamac pour l’instant inoccupé se balance mollement sur fond de tulipiers. Une brise légère atténue un peu la fournaise. Dix mètres à faire et me voilà dans le sable ou les préparatifs vont bon train. Car Playa s’entretient tandis que les touristes cuvent de la nuit. Ici on peigne le sable, là on porte des centaines de bouteilles alu vers les bateaux qui se balancent dans l’eau turquoise…
Nouveau métier : un mexicain promène casque aux oreilles une poële à frire autour des transats ou s’alanguissaient hier des femmes fatales : les trésors de pièces de bagues et de gourmettes se ramassent à la pelle…
Je rencontre mes hôtes et établi le planning du séjour. Histoire de se remettre dans le bain, je vais plonger à midi. Je vous tiens au courant 😉
Si vous aussi vous voulez faire ce voyage, consultez Blue Lagoon et Phocea Riviera Maya.
Bon là, ça va commencer à être dur de te lire, car ici à Paris, il ne fait pas beau.
Tu as bien de la chance…
Bonnes plongées.
Arf… Je compatis Denis… Je viens de sortir de l’eau. (Chaude).
Même à Marseille c’est pas terrible! Pas moyen de se mettre à l’eau ce weekend, ça bouge trop.
J’ai bien fait de partir alors…