Je découvre Twitter, comme je vous l’expliquais précédemment. Et suis loin d’être un pro de ce medium. Mais, je m’efforce toujours de connaitre au mieux ce que j’utilise. Et en apprends tous les jours… Jusqu’ici, je n’ai pas eu à m’en plaindre. Le niveau de contacts et de discours (enfin, en 140 signes, ceci explique peut-être cela) est assez élevé et le bruit de fond (lol/poucehaut, etc) encore assez faible quand on sait bien choisir les personnes que l’on suit.
C’est là qu’interviennent les followers. Comme dans toutes les sociétés humaines, le jeu est de savoir qui a la plus grosse. Dans nos sociétés dévirilisées, la taille du sexe (ou le plus gros tour de poitrine, ou le plus gros compte en banque, enfin, vous voyez…) est remplacé par le nombre de « suiveurs »… En quelque sorte l’audience. A moins d’être une star, ce nombre de « suiveurs » ne s’obtient qu’au fil du temps, par une présence quotidienne et des contenus de qualité. C’est tout un travail. Il y a des records, et pas spécialement parmi les intellectuels. Lady Gaga par exemple (ou plutôt ses community managers) affiche 23.592.172 followers. 23 millions… Pour 139.000 abonnements quand même. Abonnements évidemment inexploitables « humainement ». Avec une petite centaine d’abonnements, les messages défilent déjà à la cadence d’une mitraillette… Il faut être au moins 100 pour gérer tout cela. Bref. C’est le star system, le business et qu’importent comment ils y arrivent, tous les moyens sont bons… Il y a une notoriété à faire grandir, des places de concert et des DVD à vendre. Normaaaal.
Les journalistes sont particulièrement actifs sur Twitter pour qui c’est devenu une source d’information essentielle. En tout cas la plus rapide et réactive. Marie Walch (@mariewalch), journaliste surnommée « la reine des médias » et par ailleurs Tweetaddict, est suivie par 5379 abonnés à l’heure ou j’écris ces lignes. Vu le nombre de messages qu’elle publie, rien d’étonnant. Quand on fait ce métier, il faut être sur Twitter. Voir à ce propos l’article (déjà très ancien) du journal Le Monde.
Mais certains autres comptes obèses sont plus sujets à caution et interpellent. Mais voilà que j’apprends qu’on peut acheter des followers sur Facebook, Youtube et même Twitter ! Ou va se nicher le culte de l’apparence… Sans y passer des heures, car on a mieux a faire, c’est quand même désopilant de démonter cette imposture.
Ces grenouilles du web qui se croient plus grosses que l’internet…
La tenue d’un blog est un exercice assez égotique et pour tout dire assez éloigné de la « vraie vie ». Celle où il faut la gagner (sa vie), justement. Mais c’est tellement confortable de s’autopublier, sans censure, sans bouclage, sans structure et parfois sans lecteurs à part de fidèles louangeurs (je ne parle pas des miens, bien entendu :lol:). Ce jugement à l’emporte pièce s’applique en effet aussi à moi puisque je suis blogueur. Et gothique. En plus du travail rémunéré de journaliste, rédac chef et autres travaux d’aiguilles où les contraintes et le jugement de son travail sont justement de rigueur.
Pour les vrais pros, corporation dont je m’honore de faire partie, les journalistes de terrain, comme « La Bourbeillon » par exemple et pas mal d’autres, l’exercice du blog est un plaisir, un défoulement, une façon de ne pas perdre « le muscle » de l’écriture et c’est vrai que j’ai plaisir à discuter avec vous des sujets qui me passionnent. Ce n’est certes pas dans Plongeur.com ou dans Plongeurs International que j’aurais pu vous entretenir à longueur de pages des fractales et autres algorithmes…
Mais il existe de belles oisives ou de fieffés gigolos pour qui bloguer est l’équivalent de « miroir, mon beau miroir, qui est la (le) plus belle (beau) ? » Et chez qui l’ego atteint des limites invraisemblables et pour tout dire ridicules. Tout en polluant le réseau par des centaines de retweet du même sujet, à toute heure, pour espérer gagner quelques « vrais » followers..
Ces nombrilistes sont capables de débourser (ou le plus souvent de faire débourser à leurs fortunés cons joints) 1,390.00€ pour se targuer de 50 000 followers bidons. Et pourtant garantis 100 % humains ! Savoureux. L’imposture se révèle d’elle même en consultant leurs profils twitter, dans la section « abonnés ». Car les officines qui vendent du follower « 100% humain » vont les recruter à l’étranger, sans doute pour quelques roupies, en Inde, aux Philippines ou au Maghreb. Des pays où le niveau de vie justifie sans doute que des jeunes passent la journée à cliquer sur des liens pour flatter l’ego de riches occidentaux…
Sauf que dans le profil justement, outre un nom à forte connotation étrangère on voit clairement qu’ils ne suivent qu’un compte « de commande », sans autre abonnement ni mouvement.
Sur Facebook, c’est plus cher : pour le million de fan il faut quand même casquer 13,000.00€ ! Mais la moindre des choses quand on triche, c’est de se payer la même chose sur Twitter et les autres réseaux. Sinon, ça risque de se voir ! 😆
Mais le plus drôle c’est qu’une fois démasqués, et pour ne pas être trop ridicules sur le long terme, les twittacheteurs vont devoir supprimer les followers bidons (50 000), à la main et un par un… De quoi s’occuper. Vous me copierez cent fois « je n’achèterais plus de followers »… Enfin, il doit bien y avoir un outil qui automatise cela… Allez, chiche, on balance les URL des tricheurs ? Non, comme le recommande Loïc Lemeur, le père des community managers (qui lui n’a pas besoin de tels artifices) : sur les réseaux sociaux, soyez « gentils »… Oui mais des fois… 🙂
A part çà, la fréquentation de Twitter ne fait que croitre en France, au point que lors de certains événements « chauds », la plateforme décroche…
Hé bien, de tels réseaux sociaux sont coûteux à entretenir (sans parler du temps d’investissement) !
Moi, Twitter, c’est comme pour Klout : des followers, j’en ai vraiment pas beauklout 😆
C’est à dire que sur Twitter tout va très vite et il n’y a rien d’acquis : en ce qui me concerne, ça monte, mais il y a un trou au fond : je perds du monde… Alors en fait, ça monte pas ! Mais on est au moins sûr que ceux qui restent y trouvent leur compte. Jusqu’à ce qu’ils fuient à leur tour ! 🙂 J’en vire aussi pas mal de mes listes… C’est le jeu.
Évidemment avec des robots ou la moitié du Maghreb, il n’y a pas de fuite : c’est dans le contrat. La belle affaire…
Twittons en paix mes sœurs et mes frères. Et haro sur les tricheurs ! 🙂
Pour l’instant, je n’ai viré personne. En fait, sur Twitter, j’y passe en coup de vent, tel un colibri 😆
Et je pense donc que les tricheurs doivent s’arracher les cheveux à animer leur compte en permanence pour les faux followers ! Obligés de jouer les kiwis pour le web, ce n’est vraiment pas drôle.
Pas plus que les gens qui sont amenés à faire des batailles de polochon la nuit et à jouer les lézards le jour pendant 4 mois, filmés 24 h sur 24 et enfermés comme des rats de laboratoire parce qu’ils rêvent d’une célébrité « facile » qui ne dépassera pas le cap des 6 ou 8 mois… Sur Twitter ou ailleurs, les gens rêvent d’être adulés, quitte à sacrifier leur intimité… et leurs deniers (ou ceux de leurs « cons joints », c’est selon en effet)
Il ne faut être l’esclave de personne.
Mieux vaut être colibri que kiwi… 😉
Et en plus, il y en a qui sont allergiques au Kiwi… Bon c’est pas le même, OK. A ce propos, cette phrase m’enchante :
Le kiwi pond un œuf énorme et le contemple pendant des heures…
Allergique au kiwi – le fruit – wiiii, j’en connais une, la pauvre 😆
Si le kiwi se contente de contempler son oeuf, il ne va pas se passer grand chose… Heureusement que le mâle est là pour le couver pendant 3 mois afin qu’un beau jour, il en sorte un beau pousssssssin 😉
Bon dimanche Francis
*tombe des nues*… voilà un truc ki risquerait pas de m’arriver (bon déjà Twitter me tente pas)… j’ai pas du tout cette vision là du réseau social, en fait du net en général… C un domaine privé à mes yeux, un lieu ou je partage avec mes topains et mes topines (et aussi amies et amis)… Un peu comme un bar ou l’on se retrouve pour causer… J’ai même récemment réduit la liste de mon réseau FB, et monter la possibilité que seules certaines personnes puissent voir certaines publications… J’ai réduit la taille du comptoir en gros…
En fait, il m’apparait, à la lecture de ça, que je suis moins accroc au net k’il n’y parait!!!
Bisous
Salut tekoneuse !
Réduire la taille du bar… Oui, belle formule. En ce qui me concerne, sur mon FB perso, je suis passé à la table de camping : mes deux enfants et le cercle ultra proche. Du coup, je ne peux plus partager des trucs vu que les « pages » ne permettent pas d’avoir de gens « physiques » avec leur mur. Bref, je hais FacedeBook. Heureusement, dans un an on n’en parlera plus…
Hello Armellounette,
Twitter, c’est très particulier en effet. Et ça ne marche pas pour le « papotinage » avec les ‘topins-‘topines 😆 puisque le nombre de caractères est très limité.
En revanche, c’est de l’instantané, du « tout public » donc « tout visible » (et en ce sens, un peu dangereux : dérapage toujours possible). Mais il est vrai qu’en terme d’actu’ et donc pour les journalistes, c’est parfois très bien ! Et on peut s’y faire des contacts plus directement que sur Facebook (l’instantanéité du tweet). Récemment, ça m’est arrivé avec un pro des dinosaures et la discussion (passionnante) s’est poursuivie par mail…
Sinon, pour le papotinage intéressant, loin des réseaux sociaux, il y a le BloGuen 😆
😉
Ah ! mes « papoteuses » préférées sont de retour ! 🙂
« La Bourbeillon » ? Bigre… 😀
Pour ma part, je me sers surtout de Twitter pour deux choses :
– comme outil de veille, pour ce qui se raconte sur un thème d’actualité, repérer des articles, des sujets, c’est aussi une bonne source d’inspiration
– comme outil de recommandation, pour diffuser des liens vers des articles, posts, blogs, etc.
Je me fiche un peu de la dimension « égotique » du truc, j’avoue. Ce n’est qu’un outil. J’ai mes petites astuces pour faire le tri dans le « brouhaha » ambiant.
😉
Ça sonne bien je trouve… 🙂 Montespan, Pompadour, Bourbeillon… Au passage, je n’avais pas vu ton nombre d’abonnés. Impressionnant ! Tu les as achetés où ? (je plaisante) 🙂
Moi je démarre tout juste et j’en ai « une toute petite » mais tu as raison, on s’en fout. Par contre, pour la veille, c’est top effectivement. J’ai plein de news « chaudes » et fiables. Par contre, je ne suis pas doué pour diffuser des liens. J’ai toujours l’impression qu’en dehors de ce qui sort de mon petit crâne, c’est du « vol ». Je sais, je n’ai rien compris aux médias sociaux 🙂 Enfin, je m’y mets…
BTW, il faudra que je te cause de ma « nouvelle initiative » : tu y as ta place…
Je suis sur Twitter depuis très longtemps, c’est pour ça… 😉
Au départ, je m’étais inscrite, car c’était pratique en voyage dans les zones où il n’y avait pas internet. Il me suffisait d’envoyer un SMS à un numéro de téléphone Twitter spécial, et le message s’affichait alors sur le web, via le site Twitter. À l’époque, ce n’était pas très connu. J’avais récupéré un bout de code que je mettais dans ma sidebar, et qui affichait mes derniers messages. Ainsi, je pouvais donner en direct des mini-nouvelles sur mon blog, même en l’absence de connexion web, du moment qu’il y avait un signal téléphonique…
À mon sens, les médias sociaux, c’est du partage, pas du vol… Repérer des sujets et liens intéressants, puis les diffuser pour les faire connaître à d’autres, ça me semble être une démarche positive, constructive, au contraire.
Quant à ta nouvelle initiative, tu piques ma curiosité…
Oui, oui je me doute : plus geek que toi, on meurt ! Quand à l’échange de liens, c’est un fait : personne ne peut tout voir. Et d’ailleurs, avec mon Scoopit « carnets de plongées », je deviens un grand « curateur » devant l’éternel. Chacun y trouve son compte.
Tiens, BTW, j’ai aussi appris l’existence de « bourreurs de Twitter » automatisés qui forwardent des liens à tout va à toutes heures… On n’arrête pas le progrès !
Quand à la nouvelle initiative… C’est un peu ce que je t’avais demandé pour p.com mais à plus grande échelle… Je pourrais t’en dire plus en juin. Malgré tout ce que tu écris déjà, il doit bien te rester une main de libre… 🙂
Oups, manque un mot : « pour surveiller ce qu’on raconte sur un thème d’actualité… »
Un seul mot nous manque et tout est dépeuplé…
Salut Francis,
Qu’est-ce que tu as donc contre Lady Gaga ? C’est sa « robe » de soirée en viande qui ne te plais pas ? 🙂 La prochaine fois il faudra peut-être lui conseiller un modèle en peau de sirène, voire de dauphin !
Plus sérieusement, il ne faut surtout pas considérer Twitter comme un truc sérieux, même s-il est possible d’y glaner parfois des infos intéressantes en avant-première…
Enfin, lorsque tu évoques « Montespan », cela me rappelle surtout la petite grotte du même nom et sa voute mouillante qui avait été franchie par Norbert Casteret. Cela ne nous rajeunit pas mais je me souviens qu’à mes débuts en spéléo, j’avais pu aller voir l’espèce d’ours sculpté dans un monticule d’argile par de lointains prédécesseurs… En véritable préhistorien en herbe, j’avais déclaré que j’aurais pu faire le même à la plage dans un pâté de sable…
Un info qui de nos jours aurait bien mérité 140 signes sur Twitter !
Oh j’ai rien contre Gaga. Suis même pas sûr de savoir si c’est une chanteuse, une actrice ou une styliste, c’est te dire si je suis fan !
Montespan ! Moi je suis resté devant l’entrée, comme un blaireau, au cours d’une expé plongée qu’on avait mené à la rivière souterraine d’Aliou. Faut dire qu’il y avait une charogne coincée dans l’entrée. Ça calme… Mais je me doutais bien que tu connaissais çà ! Tu as vraiment été partout ! 🙂
Quand je suis allé à Montespan, nous venions de faire le gouffre « Georges » et quelques autres dont un très grand puits dont je ne me souviens plus le nom.. Ce devait être entre 1975 et 1978, quasiment dans l’antiquité de la spéléo moderne…
C’est pas le gouffre Aphanicé ? Un puits de 328 m de verticale… Je te connais, tu as tendance à oublier ce genre de « détail »… 🙂
Moi, en 1978, j’étais en exploration au « Trou Madame ». On ne se refait pas…
C’était la séquence « Vieux » !
Oué c bien ce ke je me disais depuis le départ, Twitter c vraiment pas pour moi… Déjà le tout visible me le fais pas du tout… Même avec un FB réservé uniquement aux gens de mon réseau (le mot ‘ami’ n’est pas convenable) je me suis pris une pétée dans la goule (d’une amie en plus, une au sens premier du terme!!!)… C pour ça que manant il y a des publi que je partage k’avec le cercle restreint… Et après le mail chez moi est réservé à l’hyper restreint (la table de camping en gros)…
J’ai po l’air comme ça mais chu méfiante!!
De toute façon, « no more secrets on internet ». Dès que tu publie, tu es à poil. Ceux qui savent faire peuvent TOUT lire. Si ! Quand à Facebook… C’est une passoire ! Mais Twitter, c’est vraiment bien quoique chronophage, comme on dit. Seul truc, par le jeu des publications automatiques, tu retrouve parfois tes tweets sur d’autres réseaux. Genre, tu tékone un peu avec quelques relations sur Twitter un soir, et le lendemain tu retrouve ces fadaises en page d’accueil de ta page pro sur LinkedIn ! C’est là qu’on découvre avoir plusieurs personnalités en fonction du contexte… Bon, on peut désactiver tout ça mais il faut y penser. Et je ne parle pas de la géolocalisation galopante : avec ton n° de portable, je sais où tu es, en temps réel. Si ! Genre : alors comme ça tu étais à ta réunion Tupperware ? C’est marrant, pendant deux heures, tu clignotais au Moon, à Pigalle…
C’était le quart d’heure parano… 🙂
Moué, passoire ou pas, moi ce que je sais c k’à ce jour mon nom et mon prénom sur Google mène pas à grand chose… Et mon nom seul c encore mieux puisque manant il est le même que celui d’une personne qui occupe l’actualité… Tranquille Mimile… euh Mémelle…
Et même sur FB il parait que je suis pas facile à trouver… donc à part pirater mon compte… mais je pense pas que ça puisse intéresser tant que ça… je détiens aucun secret, je ne suis pas une personnalité en vue… Kan à jouer à ça pour me nuire relèverait de la folie car ça équivaut à un harcèlement sur le plan juridique et c un domaine ou il faut pas m’approcher…
Moi tant que Google me connait pas trop ça me va…
(et mon quart d’heure parano consiste à vérifier de temps en temps)…
Bisous
Vas en paix, ma sœur, nul n’ira fouiller dans tes archives… 😉
Arrrrgh, enfin ça fait 2 jours j’essaye de poster… voulait plus de moi ton blog Francis…
Bisous
Si, mais hélas tu n’est pas la seule : mon hébergeur m’a coupé le sifflet pour la deuxième fois en un mois. En gros, dès qu’il y a un pic de fréquentation, ils coupent et m’envoient des alertes hackers, virus, etc. Et je passe 2h à tout vérifier, à enfiler capotes sur capotes pour découvrir qu’ils se trompent. Et ils… S’excusent… Deux jours après !
Je suis furibard et en train de changer d’hébergeur
1&1 n’égalent plus 2 ! Oui, oui, ceux qui font de la pub à la télé… Passez votre chemin !
L’Aphanicé, je l’ai fait deux fois dont une à deux… Nous avions juste oublié qu’il y avait une enfilade de puits avant d’arriver à la grande verticale et on s’était retrouvés avec un monticule de kits à trimballer…
Je viens de me souvenir que l’autre trou était le Mont Caup ou un nom dans le genre…
C’est vraiment la séquence ancêtres…!
l’Aven du Mont Caup, oui.
Eeeeeh, parles pour toi question « ancestralité » : ma verdeur n’a d’égale que ton expérience ! 🙂
C’est désastreux… Acheter ses followers ! Il ne faut vraiment pas avoir beaucoup de fierté !
Bon… trêve de plaisanterie…Qui veut me suivre sur Twitter ????? Je vous payerai en fonction de votre cote de popularité ! 😉 ahah !
N’est-ce pas ? Quelle perversion de l’idée originale…
Je vous suis déjà Adèle ! Et je suis très populaire : vous me devez 1000 €. Le bouton Paypal est en bas de la colonne de droite. Merci bien ! 😉 ahah !