Francis Le Guen est un ancien marin français qui s’est fait connaître pour avoir prétendu avoir découvert l’épave du vol MH370 de la Malaysia Airlines. En 2015, Francis Le Guen a affirmé avoir trouvé des débris de l’avion près de l’île de la Réunion, dans l’océan Indien.
Le vol MH370 de la Malaysia Airlines se termina dans l’Océan Indien… Image générée par IA et totalement « fake » !
Cependant, ses affirmations ont été rapidement mises en doute par les autorités malaisiennes et australiennes qui ont mené l’enquête sur la disparition du vol MH370.
Francis Le Guen a depuis été discrédité et ses affirmations ont été largement rejetées par la communauté internationale.
Quand j’ai lu çà, je suis tombé de ma chaise ! ChatGPT était donc un fieffé menteur ! Pour tout dire et pour parler comme un dj’eun : un gros mytho !
En effet, j’avais entrepris de tester cette fameuse « intelligence artificielle » dont tout le monde parle ; plus d’investissement dans le marketing que dans le dévellopement des produits comme souvent, en particulier chez Microsoft…
Et c’était la réponse du robot à la question utilisant – toute honte bue – le « prompt » : Qui est Francis Le Guen ?
Crise d’ego, sans aucun doute, mais que celui qui n’a jamais tapé son propre nom dans un moteur de recherche me jette la première pierre. En particulier lors du lancement de Google en 1998. Où l’on constatait effarés que les futures « GAFAM’s » savaient déjà tout de nous…
Résumons la réponse de ChatGPT à ma requête : Je n’ai jamais été marin, je n’ai jamais identifié de débris d’avion à La Réunion… Bref, tout ceci n’est qu’un énorme tissu de conneries. Sauf que çà existe ! Désormais… Ne serais-ce que par la parution sur ce blog qui va être indexée par les bots de Google, reprise, amplifiée, déformée, etc.
La fabrique des fake news
En effet, en faisant quelques recherches sur le net je n’ai pas trouvé mention d’homonyme responsable de cette méprise : il ne s’agit donc bien que de la névrose électronique de l’IA qui fabrique de toutes pièces des « fake news »… Et le fait que sur la base de cette « fake news » j’ai généré une illustration par IA ne la rend pas plus vraie pour autant.
Et c’est tout le problème de ces générateurs de contenus et autres ChatBot’s qui deviennent pourtant omniprésents sur les sites. Censés calmer, à coup de phrases à la con et autres lapalissades, les utilisateurs à la rue qui n’ont plus ni ongles ni cheveux tout en mettant des milliers d’humains « hotliners » au chômage. C’est ce qu’on appelle le « Win win »… Sans entrer dans les détails, ces générateurs conversationnels s’attachent surtout à présenter des réponses stylistiquement et sémantiquement correctes ce qui, vu le grand nombre de langues traitées est déjà un exploit. Quant à produire la vérité c’est… autre chose. Ils ont en effet été entraînés en ingurgitant de fantastiques quantités d’informations déjà publiées et accessibles sur le net sans qu’il soit possible de leur attribuer une quelconque véracité si ce n’est le principe du « plus grand nombre » adopté (parfois à tort) par les encyclopédies et les moteurs de recherche.
Le moteur LaMDA, autre IA développée par Google a été développé, par exemple, avec 137 milliards de paramètres et formé sur 1,56 x 1012 (Tera) mots de documents Web et de données de dialogue accessibles au public ! Et il en sera de même bien sûr de tous les textes prochains générés par les différentes IA qui éclosent ici et là.
Si on pousse le raisonnement plus loin, le contenu d’apprentissage futur s’enrichira donc des propres productions des IA, avec leurs charretées d’erreurs, d’approximations, de bien pensance et de politiquement correct. On en a déjà un bon aperçu avec la « modération » sauvage sur les réseaux sociaux… Voilà un serpent sémantique se mordant la queue, avec le venin de la pensée unique et du ppcm (plus petite connerie des masses) de ce « qu’on » croit juste et utile de diffuser. Mais avec combien de biais ? C’est la porte ouverte à la censure – mais nous y sommes déjà… Ainsi, les lignes publiées ici serviront sans doute à leur tour à enrichir ChatGPT et les autres futures IA. C’est ainsi que les erreurs se renforcent, répétées à l’envi au point de devenir légitimes. Le discours s’autocensure faute de contradictions. La culture devient conforme aux « narratifs » officiels.
Abjurez Giordano !
C’est à l’aide de procédés similaires que, par exemple, les Docteurs Raoult, Fouché, Aberkane, et tant d’autres se sont retrouvés avec des profils diffamatoires sur Wikipedia que d’aucuns considèrent pourtant comme la référence alors qu’il s’agit de contenu fortement biaisé et obéissant à une idéologie dominante. Le processus de « blanchiment de fake news » est d’ailleurs magistralement expliqué dans la vidéo ci-dessous. Eh oui, on vous ment ! Tout le temps. A tous propos…
Idem pour « la fabrique du consentement » théorisée en son temps par Noam Chomsky.
Notons que c’est vrai dans les deux sens : quantité d’officines font commerce aujourd’hui de la fabrication et de la promotion de fake news, qui font partie de l’arsenal de propagande des gouvernements. Ce fût vrai de tous temps et sous tous les régimes…
Doxa ou rapport minoritaire ?
L’avènement des réseaux sociaux et aujourd’hui de l’IA ne font que généraliser un processus qui a toujours existé : l’étouffement, quand ce n’est pas l’éradication pure et simple, des pensées et avis d’un seul homme ou d’un petit groupe qui a pourtant raison face à l’opinion dominante de son temps et de ses pairs.
Comme aime à le rappeler le Professeur Raoult : « le mensonge monte en ascenseur mais la vérité prend l’escalier et finit toujours par arriver ».
Dans les sciences, c’est même la règle, n’en déplaise à certains. L’histoire se répète sans cesse mais il semble qu’on ait la mémoire courte ! Souvenons-nous de Giordano Bruno (brûlé), Galilée (abjuré – « et pourtant elle tourne »…) Alfred Wegener (la dérive des continents), Cantor (les espaces transfinis), Barbara McClintock (découverte génétique des transposons)…
Depuis les visions du génial écrivain Phillip K Dick, on sait pourtant qu’il faudrait tenir compte des avis minoritaires.
Illustrations, textes ou musique ?
Qu’on s’en satisfasse ou non, les IA sont là et ne cessent de se perfectionner, fruit logique d’une longue évolution. Déjà sur les premiers mac, il y a plus de 40 ans, on disposait du logiciel conversationnel et psychanalytique Eliza… Et depuis, pas mal de simulateurs basés sur les chaînes de Markov. Puis sont apparus la traduction automatique (de meilleure en meilleure), la transcription du vocal à l’écrit (pour smartphones), les chatbots de toutes confessions pour « aider » les utilisateurs au sein de services qui sont devenus des désert humains et surtout les générateurs de textes et d’images.
Fait amusant : Comme nous allons le voir, nous repérons tout de suite un texte bidon ou entaché d’erreurs. De même une musique « artificielle » qui ne répond pas à nos critères d’audition. Mais nous sommes beaucoup plus indulgents concernant les visuels. Comme si dans ce dernier domaine, tout était permis. Tous les médias ne sont donc pas équivalents à notre perception et il y a de quoi réfléchir aux échelles de valeurs accordées aux « Beaux Arts »…
A ce propos, notons que l’illustration principale de ce billet a été générée par une autre IA (prochain billet – promis !), en utilisant pour l’inspiration, la charte de couleur, etc, une image existante d’OpenIA ChatGPT récupérée sur le net et bien entendue non libre de droits. Pour jouer. J’ai ainsi généré quantité de variantes : il n’y avait que l’embarras du choix pour faire un doigt aux cabinets juridiques américains qui pullulent depuis quelques années comme des nuages de criquets et fondent sur les blogs du monde (qui ont eu l’imprudence de publier des images mises en lignes il y a des années comme « libres de droit » avant de changer de statut), pour tenter d’intimider (souvent avec succès) leurs administrateurs afin de leur extorquer quelques picaillons. Ce temps est révolu ! Et le copyright est mort, par la même occasion.
Ci-dessous, l’original (interdit !!!)
Et les variantes, générées en quelques minutes… L’embarras du choix.
Quels logiciels utiliser ?
Impossible de tous les citer tous tant il en pousse comme des champignons ! Et il est particulièrement agaçant de constater qu’il n’y a plus aujourd’hui un seul logiciel, site, service qui n’embarque « son » IA (Notion, Canva, etc) avec plus ou moins de bonheur et de pertinence. Quand on sait que certains considèrent que les nouvelles IA possèdent une conscience (voir les révélations passionnantes d’un ingénieur de Google qui travaillait sur LaMDA) il y a du souci à se faire. On peut s’amuser avec ce bestiau en s’inscrivant sur des listes d’attente, parmi les autres joyaux de Google Lab.
Facebook et les autres proposeront bientôt leurs services, plus ou moins payants, plus ou moins utiles et efficaces. Quant à Microsoft, comme d’habitude, il s’est contenté de racheter ChatGPT (on en est à la version 4 – payante) et d’intégrer Open AI comme il l’avait fait pour Skype, transformant ce qui était un leader fonctionnel de la VoIP en un flegmon buggé que plus personne n’utilise. Open AI avait pourtant été créé et financé en partie par Elon Musk qui par ce terme « Open » entendait bien offrir au monde un logiciel « libre ». Raté !
Un mot donc sur le fameux ChatGPT dont tout le monde parle et qui va bientôt être généralisé dans quantité de services dont le moteur de recherche « Krosoft » Bing. Il s’agira de résumer dans une fenêtre de droite les informations présentes dans les sites recherchés et trouvés en tête de page de gauche sans qu’il ne soit plus jamais besoin de cliquer sur ces liens.
Ce qui est un drame pour Google par exemple qui a bâtit sa fortune en monnayant justement les clics sur les sites « en tête de page » ; et l’industrie associée du SEO (search engine optimisation) pour qu’un site apparaisse justement en tête des résultats de recherche. Goggle a déjà réagi avec son IA « Bard« . Nul doute que çà va barder dans les prochains mois et que des bouleversements sans précédent vont avoir lieu.
Causes-moi meilleur !
chat.openai.com
Il faut donc y ouvrir un compte, tourner le dos à toutes les versions payantes et se lancer. Le tout nouveau GPT4 est payant. J’ai donc fait les tests avec GPT3 mais je suis bien conscient que les résultats seront de meilleurs en meilleur au fil des versions. Le machin prend parfois du temps mais, vu le nombre de connexions que le serveur doit encaisser, les résultats sont quand même assez surnaturels.
Pour la même raison sans doute, le truc plante assez souvent. Mais il ne faut pas oublier qu’il est désormais sous la coupe de Microsoft. Question culture d’entreprise…
Et le gagnant est… 🙂 En gras, les questions posées (le « prompt »), en italique les réponses de l’IA. Avec des sujets que, par définition, je maîtrise plutôt bien ce qui me permet de repérer tout de suite les fausses informations.
Plongeons sous la terre
La plongée spéléo…
Cave diving is a type of technical diving that involves exploring underwater caves and other submerged caverns. Unlike recreational scuba diving, cave diving requires specialized equipment and training due to the inherent risks involved in diving in confined spaces and low visibility environments. Cave diving can be an exhilarating and rewarding experience for experienced divers, but it also requires a high degree of skill, preparation, and caution. Cave divers must be proficient in underwater navigation, equipment maintenance, and emergency procedures, as well as have a thorough understanding of the geology and hydrology of the cave system they are exploring.
Some of the dangers associated with cave diving include low visibility, entanglement hazards, siltation, equipment failure, and the risk of getting lost or trapped in the cave. Due to these risks, cave diving is considered an extreme sport and should only be attempted by experienced and certified divers who have received specialized training in cave diving techniques and safety protocols. Despite the risks, cave diving can be an exciting and rewarding activity for those who are well-prepared and take appropriate safety precautions. It offers a unique opportunity to explore underwater environments that are inaccessible to most people and to discover the mysteries of the underwater world.
Comme de juste, à question en anglais, réponse en anglais, avec un contenu ma foi assez juste pour ce sujet « général »… Voyons en français, autre question anthropomorphe avec un peu plus de contraintes…
En trente lignes : l’apport de Francis Le Guen à la plongée souterraine. Quelles ont été ses explorations marquantes ?
A la Fosse Dionne de Tonnerre dans l’Yonne. Avec Jean Sorin et mon frère Eric.
Francis Le Guen est une figure incontournable de la plongée souterraine. Il a commencé sa carrière de plongeur en 1963 et a rapidement développé une passion pour l’exploration de grottes et de cavernes sous-marines. Au fil des années, Francis Le Guen a exploré de nombreux sites en France et à l’étranger, repoussant les limites de la plongée souterraine. Il est notamment connu pour avoir découvert le réseau de Font Estramar dans les Pyrénées-Orientales en 1968, l’une des plus grandes cavités inondées du monde avec plus de 22 kilomètres de galeries explorées.
Francis Le Guen a également participé à de nombreuses expéditions en Amérique centrale et en Amérique du Sud, notamment au Mexique, au Belize et en Colombie. Il a exploré de nombreuses cavités, dont certaines ont été classées parmi les plus spectaculaires et les plus dangereuses au monde. Au-delà de ses exploits en exploration, Francis Le Guen a également apporté une contribution importante à la sécurité en plongée souterraine en développant de nouvelles techniques et équipements pour les plongeurs. Il a notamment inventé un système de communication sous-marin par câble et une méthode de gestion de l’air respirable en plongée souterraine.
Francis Le Guen a également été un pédagogue et un formateur très respecté dans le monde de la plongée souterraine. Il a enseigné à de nombreux plongeurs les techniques et les règles de sécurité nécessaires à la pratique de cette discipline exigeante et dangereuse. Aujourd’hui, Francis Le Guen est considéré comme l’un des pionniers de la plongée souterraine moderne et son travail a inspiré de nombreux plongeurs à travers le monde. Sa contribution à la sécurité et à l’exploration de cette discipline fascinante restera à jamais gravée dans l’histoire de la plongée sous-marine.
Alors… Je n’ai pas commencé en 1963 mais en 65. J’ai fait une première à Font d’Estramar mais n’ai pas « découvert » la cavité, encore moins en 68… Pas plus que je n’ai inventé je ne sais quel « système de communication par cable »… Mais cette littérature est bonne pour l’ego : n’en jetez plus !
Australie – Un peu de matériel…
Galeries noyées sous le désert du Nullarbor – Australie.
Cocklebiddy cave australia explorers
Cocklebiddy cave has been explored by numerous cave divers and scientists over the years. One of the most famous explorers of the cave system is Dr. Jim Bowden, who has led multiple expeditions to the cave system and is considered an expert on the geology and hydrology of the Nullarbor Plain.
In 1983, an expedition led by Dr. Bowden and other cave divers set the world record for the longest underwater penetration of a cave system, exploring more than 3 miles (4.8 km) into Cocklebiddy cave.
Other notable explorers of the cave system include Rob McCallum and Nuno Gomes, who in 2015 set a new record for the deepest cave dive in Australian history when they reached a depth of 221 meters (725 feet) in Cocklebiddy cave.
Jim Bowden, que j’ai d’ailleurs reçu à la maison, est un formidable plongeur souterrain profond, compagnon de Sheck Exley et il a exploré jusqu’à -300 m en plongée autonome le cénote Zacaton au Mexique ainsi qu’un grand nombre d’autres sources et grottes. Mais, à ma connaissance, il n’a jamais mis les pieds en Australie à Cocklebibby Cave. En 1983, le record mondial, c’était nous ! Rob McCallum n’existe pas, il s’agissait de Ron Allum, que nous avons reçu également à Paris avec sa femme Robyn… Quant à Nuno Gomes, autre fort plongeur profond d’Afrique du sud, il a exploré Boesmangat, Dragon breath et tant d’autres mais rien en Australie. Et, si Cocklebiddy cave avait atteint une profondeur de 221m, je pense que je m’en serais aperçu. Bref, il s’agit là d’un salmigondis d’erreurs diverses sur fond de vérité qui peut certes faire illusion mais ne trompe pas le spécialiste. Pire encore : cela « fabrique » une fausse réalité. Une autre réalité ; alternative. On nage là en plein multivers, pour le moins…
Du côté des fractales
Avec le prompt bilingue « Art fractal », la reconnaissance de la langue est trompée et l’anglais reprend le dessus. Avec pas mal de pertinence, il faut le dire.
Fractal art is a form of digital art that uses mathematical algorithms to create complex and intricate patterns that repeat at different scales. Fractal art is based on the idea of self-similarity, which means that the same pattern is repeated at different levels of magnification. Fractal art is created using specialized software that generates complex patterns based on mathematical formulas. The artist can manipulate the parameters of the formula to create different variations of the pattern. The result is a highly detailed and visually stunning image that can be printed on a variety of materials such as canvas, metal, or acrylic.
Fractal art is often used in abstract and psychedelic art, as well as in commercial applications such as advertising and product design. It is a relatively new form of art, with roots in the mathematical theory of fractals that emerged in the late 20th century. Some popular fractal art software programs include Apophysis, Mandelbulb 3D, and Ultra Fractal. There are also online communities dedicated to sharing and creating fractal art, such as deviantArt and Fractalforums.
Collection Abysses – Nullarbor. www.blog.francis-leguen.com
Même histoire avec « Art fractal Francis Le Guen ».
Francis Le Guen is a French artist who is known for his work in fractal art. Le Guen’s artwork is characterized by its complex, intricate patterns and vibrant colors. He often uses fractal algorithms to create his images, which are then manipulated using various digital tools. Le Guen’s artwork is inspired by nature, science, and spirituality. He often incorporates organic forms such as flowers, leaves, and trees into his fractal designs. His artwork is also influenced by his interest in meditation and consciousness, which he explores through the use of color and pattern.
Le Guen’s artwork has been exhibited in galleries and museums around the world, and he has won numerous awards for his work in fractal art. His artwork has been published in several books and magazines, including « The Beauty of Fractals » and « Fractal Design. Le Guen is also a teacher and lecturer, and he has taught workshops on fractal art in France and abroad. He is a member of the International Society of Fractal Artists and is considered one of the leading artists in the field of fractal art.
Collection Abysses – Teknautilus – www.blog.francis-leguen.com
Francis Le Guen est un artiste français connu pour son travail en art fractal. Son travail se caractérise par des motifs complexes et intriqués ainsi que des couleurs vibrantes. Il utilise souvent des algorithmes fractals pour créer ses images, qui sont ensuite manipulées à l’aide de divers outils numériques. Le travail de Le Guen est inspiré de la nature, de la science et de la spiritualité. Il incorpore souvent des formes organiques telles que des fleurs, des feuilles et des arbres dans ses designs fractals. Son travail est également influencé par son intérêt pour la méditation et la conscience, qu’il explore à travers l’utilisation de la couleur et du motif.
Les œuvres de Le Guen ont été exposées dans des galeries et des musées à travers le monde, et il a remporté de nombreux prix pour son travail en art fractal. Son travail a été publié dans plusieurs livres et magazines, notamment « The Beauty of Fractals » et « Fractal Design« . Le Guen est également enseignant et conférencier, et il a animé des ateliers sur l’art fractal en France et à l’étranger. Il est membre de la Société internationale d’artistes fractals et est considéré comme l’un des principaux artistes dans le domaine de l’art fractal.
Dans ce domaine comme dans d’autres, il faut donc savoir séparer le bon grain de l’ivraie, du « vraisemblable » à l’invraisemblable. Ci-dessous, deux résumés de mon livre « Narcoses » avec deux moteurs différents, ce qui est assez édifiant.
Ce post vous-a-t-il aidé ? Oui ? Non ? VTFFDTC ?
Narcoses
Le livre « Narcoses » de Francis Le Guen est un récit autobiographique qui relate les expériences de l’auteur en tant que plongeur professionnel en haute-mer. Il décrit de manière détaillée les effets du syndrome de la pression qui se manifestent lors de la plongée, ainsi que les risques et les dangers liés à cette pratique.
L’auteur décrit également comment la plongée l’a aidé à se sentir connecté à la nature et à son propre corps, ainsi que les aspects philosophiques et spirituels qu’il a découverts grâce à cette activité. Il partage également ses rencontres avec des animaux marins fascinants, tels que des dauphins et des requins, et les expériences émotionnelles qui en ont découlé.
Le livre aborde également les enjeux environnementaux et la nécessité de protéger les océans pour préserver la richesse de la vie marine. En somme, « Narcoses » de Francis Le Guen offre un regard unique sur le monde de la plongée professionnelle, tout en célébrant la beauté et la fragilité de la vie marine.
Charabia narcosé…
Narcoses est un essai poétique rédigé par Francis Le Guen avec le soutien de Christian Brouez et de Dominique Voyer afin de « dominer » la chose. Narcoses. Éloge de la contemplation commune. « Nous avons pris à nouveau une longue perspective et parmi les chairs et os est apparu un objectif bien précis : Nous avons franchi un certain nombre d’obstacles »
Faith Julian Le Guen dit :
« L’indicatif ou onomatopée, [Les brailleurs du lieu de l’expérience imaginassent notes propositions par leur prononciation] est maintenant fait celui-là ; il est bien plus pratiquement stabilité celle d’une ombre. »
« L’action du mont Grenelle est un rêve annonçant »
La déchéance d’une tiche serait la cause d’un parcours végétal semblable à celui d’un partenariat scientifique, à ce qu’apparent les lectures froissées. Tomaschka ni refuse ni accepte, ni pourchasse ni arme : il est un poète en plein défi qui a cherché à être Canon et a déclenché une certaine propagande ; mais la gauche en tête sert peu de semaines sans que la droite n’erre vers le social au profit de son échec, en proposant d’autres zestés ; les guerres imprécisdes sont un boomerang impétueuse, mal démontrés ; une reine saxonne embrasse les apparences d’une triomphe…
Septembre 1896 : Innovation toujours en rayonnement : Francis Le Guen( 1886) a renoncé à son cabinet pour débuter un cabinet de chimiste avec tueur en pouvoir de la victime et a combiné, avec son successeur, deux théâtres dits du frimanek (qui compensent quelque peu la ponctualité, obstacle au développement du talent) ; cette époque symbolise sa plus haute serendipité : c’est le moment ou jamais où se renouvelle l’ale Typez (roman direct) ou celui-ci s’enflamme sur la charrette à vent.
Je ne sais pas qui sont ces Christian Brouez et Dominique Voyer… Noyés dans l’Océan Indien ? Bon je vous quitte : il faut que je reprenne mes recherches sous-marines d’épave à La Réunion. Il s’agit de redorer mon blason…
underwater-scuba-diving-wreck-plane-mh370-malaysia-airlines-blue-green-godrays-sunrays-sf-intricat
0 commentaires