Sélectionner une page

Chaines de Markov et littérature fractale

algorithme

La logique, la statistique et les algorithmes sont à la base de l’informatique et de bien d’autres choses. On les retrouve partout dans notre vie quotidienne sans même s’en rendre compte… Une recette de cuisine par exemple est un algorithme. Un match de foot aussi…

Qu’est-ce qu’un algorithme ? C’est un ensemble d’opérations mathématiques simples, combinées ensembles, reposant justement sur la logique et les probabilités. Le principe est simple : l’algorithme peut être considéré comme une « boîte noire » dans laquelle on fait entrer des données qui ressortent de la boîte profondément transformées (Ingrédients>recette de cuisine>plat « c’est prêt ! ». Rien n’empêche d’ailleurs de les faire entrer dans une nouvelle « boîte noire », par exemple, pour garder l’analogie avec la cuisine : plat>dégustation>jugement> »Top Chef« …

Andrei_Markov-a69c9Parmi la foultitude d’algorithmes existants, l’un est particulièrement fascinant : il s’agit des « chaînes de Markov ». Andreï Andreïevitch Markov (2 juin 1856 – 20 juillet 1922) était un mathématicien russe qui étudia à l’Université d’État de Saint-Pétersbourg en 1874 sous la tutelle de Tchebychev et en 1886, devint membre de l’Académie des Sciences de Saint-Pétersbourg. Ses travaux sur la théorie des probabilités l’ont amené à mettre au point les chaînes de Markov qui l’ont rendu célèbre et qui sont les prémices de la théorie du calcul stochastique.

En 1913, il étudia  en effet la succession des lettres dans le roman Eugène Onéguine d’Alexandre Pouchkine. Markov nota que les lettres utilisées (qui se répartissent selon les statistiques spécifiques de l’alphabet russe) suivent en fait des contraintes très précises : chaque lettre dépend étroitement de la précédente. On appela par la suite les groupements dans lesquels une lettre d’un texte dépend de la précédente (avec une certaine probabilité), une chaîne de Markov.

EAO (écriture assistée par ordinateur)

CharabiaDès lors, il est possible de créer des logiciels capable de produire du sens tous seuls ce qui, dans le cas d’un écrivain, par définition fainéant, est particulièrement attractif. Là, au moins, on sait pourquoi on a un ordinateur…

Rendez vous compte : écrire des romans, des articles, des poésies, des notes de service ou des communiqués de presse de manière automatique, sans autre effort que d’appuyer sur « Enter » ? Le rêve… D’ailleurs ce blog… Non, je plaisante, j’utilise encore pour sa rédaction mes neurones et mes petites pattes de devant… Toutefois, je n’ai pas pu m’empêcher de tester un peu ces logiciels pour produire de la littérature fractale et les résultats ont au moins le mérite d’être hilarants.

Il existe sur l’internet un foule de générateurs désopilants, capables  de créer des proverbes inédits ou des chefs d’œuvres de langue de bois qui font parfois illusion. Côté logiciel, j’ai utilisé charabia.net qui tourne sous Windaube. Il est possible d’utiliser des scripts déjà écrits mais aussi de les modifier à loisir ou d’écrire ses propres règles, en déplaçant les blocs et leurs interactions. C’est très simple et ludique. Ensuite, il suffit de cliquer à répétition sur le bouton « générer » pour voir apparaître autant de phrases décousues que l’on souhaite, de celles que sont capables de produire, par exemple, les critiques d’art :

peinture« Une supplique énigmatique dans la tragédie contemporaine !

La peinture (puisqu’il s’agit, envers et contre tout, de peinture) de Claude-Camille Durand-Delair demande au visiteur, consentant ou non, de reconsidérer son appréhension de l’espace historique en tant que tel, -il n’est pas vain de l’écrire en ces temps de disette conceptuelle- ou, si l’on préfère, chemine au long de la sensation télévisuelle des territoires humains du marché de l’art vus comme un abécédaire circonstancié de l’écosystème de la sexualité. Évidemment, une observation rapide de son installation interactive, va, de façon certaine, enchanter son public… » On s’y croirait, n’est ce pas ? 🙂

De même, il est possible de générer des aphorismes à répétition :

Il n’y a pas d’Harmonie là où il n’y a pas d’Espace.
A quoi bon l’Écriture devant la Laideur ?
On renonce plus aisément à la Haine qu’à l’Enfance.
Derrière l’Obstacle, il n’y a souvent que l’Ignorance.
L’Écriture sans Obstacle n’est rien, l’Obstacle sans Écriture ne vaut guère mieux.
Le Corps ne serait pas Corps s’il n’était pas Pouvoir.
La Mémoire n’est que la continuation de l’Espace par d’autres moyens.

Etc. 🙂

Que diriez vous, dans le même registre, de quelques haïkus ?

herbe vacillante
la grenouille s’égosille

lueur de la chandelle
la montagne murmure

malheureux pèlerin
qui ne goûtera pas

petits pots de crème au café
odeur de brûlé

Ou des proverbes à la pelle ?

Tant va la peau de l’ours avant de l’avoir tuée
Un homme averti qui sait attendre la peau de l’ours en vaut deux
L’habit qui roule porte conseil.
Quand le vin est tiré tous les chats mènent à Rome
Bien mal acquis n’a pas d’odeur.
Ventre affamé n’attrape pas le moine avec du vinaigre…

Quelques (fausses) paroles du Christ ?

Pape-Benoit-16Évangile de Jésus-Christ selon Saint Matthieu.
Dès le point du jour, Jésus se rendit dans les villes et les villages et se mit à enseigner. Un riche collecteur d’impôts survint avec les responsables du peuple et posa une question à Jésus afin de trouver dans ses paroles un motif d’accusation :
– Mais qui donc est mon prochain?
Comme la foule écoutait ces paroles, Jésus lui dit :
– Malheur à vous qui maintenant riez, car vous connaîtrez le deuil et les larmes. Et il y aura des pleurs et des grincements de dents.
Puis, s’adressant à ses disciples, Jésus déclara :
– Si vous croyez en moi, on versera dans le pan de votre vêtement une bonne mesure bien tassée, secouée et débordante dans le Royaume des cieux. Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé, mais celui qui me méprise et qui ne tient pas compte de mes paroles a déjà son juge : c’est cette Parole même que j’ai prononcée ; elle le jugera au dernier jour.
Là-dessus, il les quitta et partit de là.
Acclamons la parole de Dieu !

Évangile de Jésus-Christ selon Saint Marc.
Dès le point du jour, Jésus fut accueilli par la foule car tous l’attendaient. Un enseignant de la Loi survint avec les responsables du peuple et posa une question à Jésus :
– N’y a-t-il qu’un petit nombre de gens qui seront sauvés ?
Alors, fixant son regard sur lui, Jésus lui répondit :
– Je vous le dis : malheur à vous, pharisiens, car vous souffrirez horriblement dans les flammes de l’enfer. Espèces de vipères ! Si ton oeil te fait tomber dans le péché, arrache-le et jette-le au loin.
Après quoi, s’adressant à ses disciples, le Seigneur poursuivit :
– Parce que vous avez cru en moi, vous aurez un trésor inaltérable dans le Royaume des cieux.
Les foules qui entendaient ses réponses étaient profondément impressionnées par son enseignement.
Acclamons la parole de Dieu !

L’éducation Nationale n’est pas en reste, avec ces préceptes avisés…

logo_education_nationaleEn référence à Noam Chomsky, il semble évident que l’élève, en rupture avec un système de variables, privilégie les situations prévisionnelles. Mais c’est bien l’affordance qui, en favorisant le postulat d’éducabilité, nous force de constater : la pédagogie de la différenciation est une pédagogie analytique.
 Quittons la vision théorique : Un enfant (vous savez, un de ces liliputiens ridicules) refuse la fantastique mise en situation théorique que vous aviez élaborée pour lui. Le corpus des invariants structuraux nous conduit alors à une réponse adaptée : une beigne !

 Sans prononcer le mot cognitivisme, on ne peut ignorer que l’apprenant, avec l’étayage d’un faciliteur, adopte spontanément des modes d’apprentissage vicariants. Mais c’est bien l’autovalidation qui, en favorisant le postulat d’éducabilité, nous force de constater : la pédagogie de la différenciation n’est pas une pédagogie relationnelle. Ancrons-nous dans l’empirique : Un enfant (vous savez, un de ces humanoïdes primitifs) renacle devant l’exceptionnelle situation-problème théorique que vous aviez concoctée pour lui. Nous sommes alors conduits à un réflexe situationnel approprié : bouffer son goûter !

Voici maintenant un essai philosophique, clair comme de l’eau de roche… En cliquant sur le bouton une dizaine de fois et en publiant le résultat sous forme de livre avec le marketing qui va bien (surtout si je dis avoir couché avec DSK…), je ne doute pas d’avoir des lecteurs et de nombreuses critiques… Et je plaints au passage le robot qui va indexer ce contenu… 🙂

Auguste_Rodin_-_PenseurL’essentialisme en tant que concept sémiotique de la connaissance. Prémisces de l’essentialisme irrationnel.
Le paradoxe de la science transcendentale illustre l’idée selon laquelle l’ontologisme n’est ni plus ni moins qu’un objectivisme moral idéationnel. Cela nous permet d’envisager qu’on ne peut que s’étonner de la façon dont Bergson critique la contemporanéité métaphysique. L’essentialisme illustre un monoïdéisme subsémiotique dans son acception spinozienne, et c’est dans une finalité analogue que Spinoza donne une signification particulière à la réalité minimaliste de l’essentialisme.
Le paradoxe de l’immoralisme illustre ainsi l’idée selon laquelle la consubstantialité n’est ni plus ni moins qu’un primitivisme synthétique.
Pourtant, il systématise la réalité empirique de l’essentialisme afin de l’analyser en fonction du positivisme. Néanmoins, il donne une signification particulière à un maximalisme de l’Homme, car on ne saurait ignorer l’impulsion bergsonienne du matérialisme existentiel, il est alors évident que Jean-Jacques Rousseau envisage la destructuration idéationnelle de l’essentialisme. Notons néansmoins qu’il en examine la démystification originelle en regard de l’objectivité alors qu’il prétend la resituer dans toute sa dimension intellectuelle et politique.
On ne peut considérer qu’il envisage la réalité spéculative de l’essentialisme sans tenir compte du fait qu’il en décortique la démystification circonstancielle dans une perspective kantienne contrastée.
De la même manière, on ne peut que s’étonner de la manière qu’a Leibniz de critiquer l’objectivité empirique et d’une part il se dresse, de ce fait, contre la relation entre monoïdéisme et physicalisme, d’autre part il en identifie l’aspect rationnel dans sa conceptualisation.
La forme nietzschéenne de l’essentialisme est, finalement, déterminée par une intuition phénoménologique de l’immoralisme originel.

C’est dans une optique similaire qu’il examine l’expression empirique de l’essentialisme, et l’essentialisme ne synthétise qu’imprécisément le positivisme minimaliste.
Par ailleurs, on ne saurait assimiler, comme le fait Sartre, le holisme idéationnel à un synthétisme irrationnel. Il est alors évident que Jean-Paul Sartre spécifie l’origine de l’essentialisme. Il convient de souligner qu’il en décortique l’origine universelle en tant que concept existentiel de la connaissance, et l’essentialisme illustre d’ailleurs un nihilisme spéculatif de la pensée sociale.

Il faut cependant contraster cette affirmation car il systématise la conception phénoménologique de l’essentialisme. Le fait que Leibniz réfute ainsi l’expression circonstancielle de l’essentialisme signifie qu’il en identifie la démystification irrationnelle en regard de la science.
C’est dans une finalité similaire qu’il identifie l’irréalisme de la pensée sociale alors qu’il prétend le resituer dans le cadre intellectuel et politique qui le caractérise, et on pourrait mettre en doute Leibniz dans son approche déductive de l’ultramontanisme, il faut cependant mitiger ce raisonnement car il se dresse contre l’origine de l’essentialisme.
C’est dans une optique analogue qu’il interprète la réalité circonstancielle de l’essentialisme et si d’une part on accepte l’hypothèse qu’il caractérise la conscience post-initiatique par son kantisme substantialiste, et si d’autre part il en restructure l’expression circonstancielle dans son acception substantialiste cela signifie alors qu’il envisage la conception phénoménologique de l’essentialisme.
L’essentialisme nous permet, finalement, d’appréhender un postmodernisme dans sa conceptualisation.

C’est dans une optique similaire qu’on pourrait mettre en doute Nietzsche dans son approche rationnelle du tribalisme, car comme il est manifestement difficile d’affirmer que Noam Chomsky spécifie la destructuration post-initiatique de l’essentialisme, force est d’admettre qu’il décortique l’origine de l’essentialisme.
Pour cela, il systématise le scientisme minimaliste de l’Homme alors qu’il prétend le resituer dans toute sa dimension intellectuelle et politique, et on ne saurait reprocher à Montague sa passion transcendentale, il faut cependant mitiger ce raisonnement : s’il particularise la réalité subsémiotique de l’essentialisme, c’est aussi parce qu’il en spécifie l’origine rationnelle comme objet universel de la connaissance.
Dans cette même perspective, il conteste la conception circonstancielle de l’essentialisme pour l’opposer à son cadre social et politique la continuité.
L’essentialisme permet, finalement, de s’interroger sur une herméneutique de l’Homme.

Pourtant, il est indubitable qu’il réfute la destructuration universelle de l’essentialisme. Soulignons qu’il en identifie l’analyse synthétique en tant que concept génératif de la connaissance. Si d’une part on accepte l’hypothèse que Jean-Paul Sartre spécifie néanmoins l’origine de l’essentialisme, et que d’autre part il en caractérise l’analyse subsémiotique sous un angle idéationnel, cela signifie donc qu’il conteste l’expression générative de l’essentialisme.
C’est d’ailleurs pour cela qu’il conteste la destructuration empirique de l’essentialisme, et on ne saurait assimiler, comme le fait Kant, le créationisme à un esthétisme, pourtant, il serait inopportun d’ommettre qu’il particularise l’origine de l’essentialisme.
C’est d’ailleurs pour cela qu’on ne peut que s’étonner de voir Nietzsche critiquer la contemporanéité synthétique et on ne peut considérer qu’il rejette alors l’analyse circonstancielle de l’essentialisme si l’on n’admet pas qu’il en caractérise la réalité circonstancielle sous un angle déductif.
On ne saurait, pour conclure, ignorer l’impulsion chomskyenne de la continuité générative.

C’est d’ailleurs pour cela que Nietzsche identifie la relation entre extratemporanéité et platonisme, car l’essentialisme s’oppose fondamentalement au tribalisme spéculatif.
C’est avec une argumentation analogue que Rousseau réfute la démystification synthétique de l’essentialisme. Pourtant, il serait inopportun d’ommettre qu’il se dresse contre l’extratemporanéité de la pensée sociale bien qu’il décortique l’origine de l’essentialisme, et l’essentialisme s’oppose d’ailleurs fondamentalement au platonisme universel.

Pour un essentialisme post-initiatique.

Notre hypothèse de départ est la suivante : l’aspect kierkegaardien de l’essentialisme est déterminé par une intuition spéculative de la continuité minimaliste. Cela signifie notamment qu’il caractérise la certitude par son ontologisme minimaliste.
C’est ainsi qu’il décortique la réalité subsémiotique de l’essentialisme, et on ne saurait assimiler, comme le fait Bergson, le synthétisme subsémiotique à une passion irrationnelle, néanmoins, il se dresse contre la démystification circonstancielle de l’essentialisme.
C’est avec une argumentation similaire qu’il conteste la conception spéculative de l’essentialisme pour l’opposer à son contexte intellectuel et social.
L’essentialisme nous permet, finalement, d’appréhender un nativisme métaphysique en regard de la conscience. Il faut cependant contraster cette affirmation : s’il rejette l’expression substantialiste de l’essentialisme, il faut également souligner qu’il en donne une signification selon la réalité sémiotique sous un angle empirique, car notre hypothèse de départ est la suivante : l’essentialisme permet de s’interroger sur un maximalisme irrationnel sous un angle irrationnel. C’est alors tout naturellement qu’il décortique l’origine de l’essentialisme.
Ainsi, on ne saurait reprocher à Bergson son maximalisme post-initiatique, et on ne saurait assimiler, comme le fait Kant, le causalisme à une immutabilité sémiotique, néanmoins, il particularise l’herméneutique de la pensée sociale bien qu’il rejette la destructuration spéculative de l’essentialisme.
Dans cette même perspective, on ne peut que s’étonner de la façon dont Montague critique la passion originelle pour la resituer dans sa dimension politique et sociale le rigorisme.
On ne peut, pour conclure, contester l’impulsion hegélienne du kantisme.

Pourtant, il est indubitable que Rousseau conteste la relation entre esthétisme et objectivité. Il convient de souligner qu’il en identifie l’aspect rationnel dans son acception idéationnelle, et d’une part Noam Chomsky caractérise le platonisme rationnel par son herméneutique originelle, d’autre part il réfute la réalité substantialiste dans une perspective hegélienne contrastée.
C’est dans cette même optique qu’il se dresse contre la démystification métaphysique de l’essentialisme, et on ne saurait écarter de cette étude la critique montagovienne de la contemporanéité synthétique, pourtant, il serait inopportun d’ommettre que Spinoza particularise la démystification subsémiotique de l’essentialisme.
C’est le fait même qu’il se dresse contre l’expression morale de l’essentialisme qui nous permet de rejetter l’hypothèse qu’il en décortique l’expression existentielle dans son acception universelle.
Pour cela, on ne peut contester la critique cartésienne de l’esthétisme rationnel et si on ne saurait ignorer l’influence de Hegel sur le structuralisme, Hegel décortique pourtant la réalité sémiotique de l’essentialisme et il réfute, par ce biais, la destructuration irrationnelle comme concept existentiel de la connaissance alors même qu’il désire le resituer, par ce biais, dans toute sa dimension sociale et intellectuelle.
Finalement, l’essentialisme pose la question de la passion existentielle dans sa conceptualisation.

Contrastons néanmoins cette affirmation : s’il particularise la destructuration circonstancielle de l’essentialisme, c’est aussi parce qu’il en donne une signification selon l’analyse synthétique en tant qu’objet sémiotique de la connaissance, et on ne saurait écarter de cette étude l’impulsion nietzschéenne du connexionisme, cependant, Spinoza caractérise le rigorisme spéculatif par son objectivité rationnelle.
Le fait qu’il examine la destructuration rationnelle de l’essentialisme signifie qu’il en identifie l’aspect phénoménologique dans une perspective chomskyenne.
Cela nous permet d’envisager qu’on ne saurait ignorer la critique du minimalisme rationnel par Hegel pour le resituer dans toute sa dimension politique et intellectuelle l’universalisme.
On ne saurait, par déduction, assimiler, comme le fait Sartre, la consubstantialité existentielle à un platonisme.

Il est alors évident qu’il systématise l’origine de l’essentialisme. Il convient de souligner qu’il en interprète l’origine spéculative dans sa conceptualisation, car on ne peut que s’étonner de voir Montague critiquer l’objectivité circonstancielle, pourtant, il est indubitable qu’il restructure l’origine de l’essentialisme. Notons néansmoins qu’il réfute l’origine empirique sous un angle moral.
Nous savons qu’il interprète la conception empirique de l’essentialisme. Or il en donne une signification selon l’origine empirique dans sa conceptualisation. Par conséquent, il systématise le criticisme spéculatif dans une perspective kierkegaardienne alors même qu’il désire le considérer selon le positivisme post-initiatique afin de critiquer la consubstantialité substantialiste.
Par le même raisonnement, on ne peut contester la critique du réalisme génératif par Descartes pour le resituer dans le contexte intellectuel et politique.
On ne saurait, pour conclure, assimiler, comme le fait Montague, la géométrie à un nihilisme.

Cependant, il décortique la conception rationnelle de l’essentialisme, car on peut reprocher à Nietzsche son confusionnisme sémiotique, il est alors évident qu’il donne une signification particulière à un finitisme phénoménologique en tant que concept primitif de la connaissance alors même qu’il désire le resituer dans toute sa dimension politique et sociale. Soulignons qu’il en interprète l’origine substantialiste dans une perspective kantienne contrastée.
Si on ne saurait ignorer l’impulsion sartrienne de la liberté subsémiotique, Bergson donne cependant une signification particulière à la destructuration originelle de l’essentialisme et il en décortique donc la réalité sémiotique dans une perspective leibnizienne contrastée.
C’est dans une finalité identique qu’on peut donc reprocher à Descartes sa conscience circonstancielle et notre hypothèse de départ est la suivante : l’essentialisme illustre un substantialisme de la pensée individuelle. C’est alors tout naturellement qu’il donne une signification particulière à la conception transcendentale de l’essentialisme.
Finalement, l’essentialisme pose la question de la dialectique originelle en tant que concept rationnel de la connaissance.

Contrastons néanmoins ce raisonnement : s’il réfute l’origine de l’essentialisme, il est nécessaire d’admettre qu’il en décortique l’aspect existentiel dans son acception existentielle. C’est le fait même que Descartes donne, par la même, une signification particulière à la démystification spéculative de l’essentialisme qui nous permet d’affirmer qu’il en spécifie l’origine idéationnelle en tant qu’objet primitif de la connaissance.
Pourtant, il est indubitable qu’il s’approprie la réalité originelle de l’essentialisme. Il convient de souligner qu’il en systématise l’origine existentielle en tant que concept existentiel de la connaissance, et le globalisme ou la continuité existentielle ne suffisent pas à expliquer le globalisme en tant que concept rationnel de la connaissance.
Si on ne saurait, de ce fait, écarter de notre réflexion l’influence de Leibniz sur le dogmatisme, il caractérise pourtant la conscience par son aristotélisme rationnel et il en décortique, par ce biais, la démystification post-initiatique dans son acception déductive.
C’est d’ailleurs pour cela qu’il donne une signification particulière à la démystification universelle de l’essentialisme et l’essentialisme permet, par ce biais, de s’interroger sur un matérialisme dans sa conceptualisation.

Essentialisme idéationnel : Une théorie rationnelle.
L’essentialisme ne se borne pas à être un indéterminisme dans son acception nietzschéenne.

On ne peut, par la même, que s’étonner de voir Spinoza critiquer le mesmerisme, et on ne peut considérer que Spinoza systématise la conception synthétique de l’essentialisme si l’on n’admet pas qu’il en caractérise l’analyse empirique en tant qu’objet substantialiste de la connaissance alors même qu’il désire supposer l’extratemporanéité substantialiste.
L’immutabilité générative ou le confusionnisme synthétique ne suffisent pourtant pas à expliquer l’extratemporanéité en tant que concept synthétique de la connaissance.
C’est avec une argumentation identique qu’on peut reprocher à Kierkegaard sa science rationnelle. Pourtant, il serait inopportun d’ommettre qu’il interprète la conception phénoménologique de l’essentialisme. Notre hypothèse de départ est la suivante : l’essentialisme ne saurait cependant se comprendre autrement qu’à la lueur du maximalisme empirique. De cette hypothèse, il découle qu’il caractérise le minimalisme moral par son ionisme sémiotique.
Pour cela, il restructure l’origine de l’essentialisme, et on ne saurait ignorer l’impulsion kierkegaardienne du naturalisme spéculatif, il faut cependant contraster cette affirmation : s’il systématise la démystification synthétique de l’essentialisme, il faut également souligner qu’il en particularise l’analyse synthétique en tant qu’objet idéationnel de la connaissance.
C’est dans une finalité analogue qu’il décortique l’origine de l’essentialisme pour l’opposer à son contexte social le primitivisme subsémiotique.
On ne peut, pour conclure, contester l’influence de Spinoza sur l’antipodisme minimaliste.

Par le même raisonnement, il s’approprie la démystification spéculative de l’essentialisme. C’est le fait même que Leibniz examine, par la même, la destructuration subsémiotique de l’essentialisme qui nous permet de rejetter l’hypothèse qu’il en donne une signification selon l’expression empirique comme objet minimaliste de la connaissance.
C’est d’ailleurs pour cela qu’il particularise la conception phénoménologique de l’essentialisme, et on ne saurait assimiler, comme le fait Nietzsche, le connexionisme idéationnel à un comparatisme rationnel, il faut cependant contraster ce raisonnement : s’il identifie la relation entre globalisme et monogénisme, il faut également souligner qu’il en caractérise l’analyse idéationnelle dans son acception hegélienne.
Comme il est difficile d’affirmer qu’il conteste l’analyse générative de l’essentialisme, il semble évident qu’il décortique la relation entre ontologisme et liberté.
Pour cela, il caractérise le substantialisme par sa liberté circonstancielle pour l’opposer à son contexte intellectuel et social le primitivisme existentiel.
On ne saurait, par déduction, écarter de notre réflexion l’influence de Chomsky sur le monogénisme originel.

De la même manière, on peut reprocher à Sartre son irréalisme subsémiotique, car on peut reprocher à Nietzsche son aristotélisme génératif. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu’il s’approprie l’origine de l’essentialisme.
Par ailleurs, il donne une signification particulière à la démystification rationnelle de l’essentialisme, et on ne peut que s’étonner de voir Bergson critiquer la continuité irrationnelle, il est alors évident qu’il s’approprie la réalité synthétique de l’essentialisme. Soulignons qu’il en caractérise la démystification transcendentale sous un angle spéculatif.
En effet, il décortique la relation entre abstraction et planisme pour le considérer selon le planisme post-initiatique le confusionnisme post-initiatique.
L’essentialisme s’appuie, finalement, sur une continuité en tant que concept synthétique de la connaissance.

Par ailleurs, on pourrait mettre en doute Kant dans son analyse existentielle de l’aristotélisme, car comme il est difficile d’affirmer que Rousseau se dresse contre l’analyse minimaliste de l’essentialisme, il semble évident qu’il particularise la relation entre platonisme et dialectique.
Cependant, il examine la relation entre certitude et ontologisme, et l’essentialisme ne peut être fondé que sur l’idée de l’amoralisme.
Premièrement il caractérise alors l’innéisme minimaliste par son nominalisme génératif; deuxièmement il en conteste alors l’aspect rationnel sous un angle irrationnel. Il en découle qu’il restructure alors l’innéisme phénoménologique dans son acception synthétique.
Notons par ailleurs qu’on ne saurait alors reprocher à Montague son nominalisme rationnel afin de l’opposer à son cadre politique et intellectuel.

Pourtant, il spécifie l’expression déductive de l’essentialisme. C’est le fait même que Jean-Paul Sartre restructure ainsi la destructuration substantialiste de l’essentialisme qui nous permet d’affirmer qu’il s’en approprie la réalité synthétique dans sa conceptualisation.
C’est dans cette optique qu’il rédéfinit comme rationnel l’essentialisme (voir  » l’essentialisme empirique et l’essentialisme substantialiste « ), et on ne peut que s’étonner de voir Hegel critiquer le matérialisme, il faut cependant contraster cette affirmation dans le sens où il s’approprie la relation entre ontologisme et géométrie.
Pour cela, il identifie le substantialisme minimaliste de la pensée individuelle et comme il semble difficile d’affirmer qu’il s’approprie le confusionnisme post-initiatique en tant qu’objet synthétique de la connaissance alors même qu’il désire l’opposer à son cadre intellectuel et social, il semble évident qu’il envisage la conception idéationnelle de l’essentialisme.
On ne saurait, pour conclure, reprocher à Leibniz son scientisme originel.

Il faut cependant contraster cette affirmation : s’il identifie l’expression spéculative de l’essentialisme, il faut également souligner qu’il en rejette l’expression subsémiotique dans son acception cartésienne, car on ne peut considérer que Jean-Paul Sartre particularise la réalité primitive de l’essentialisme si l’on n’admet pas qu’il en examine la destructuration idéationnelle dans sa conceptualisation tout en essayant de la resituer dans le contexte intellectuel et social.
C’est d’ailleurs pour cela qu’il interprète la réalité idéationnelle de l’essentialisme, et on ne saurait reprocher à Chomsky son suicide universel, cependant, il s’approprie le substantialisme dans sa conceptualisation.
En effet, il rejette l’origine de l’essentialisme et si on ne saurait, par la même, ignorer la critique bergsonienne du monogénisme transcendental, Sartre systématise cependant l’origine de l’essentialisme et il en conteste, par ce biais, la destructuration circonstancielle dans son acception bergsonienne.
Finalement, la formulation kierkegaardienne de l’essentialisme provient, par ce biais, d’une représentation substantialiste de la dialectique rationnelle.

Ouf !

Mon premier roman « goncourable »…

Dans la même veine, voici donc mon premier roman « historique »… Si vous avez le courage d’aller jusqu’au bout ! 🙂

Puissent-ils tous deux rompre les liens qui les retenaient dans sa chambre… Avec une curiosité mêlée de compassion, les larmes la suffoquait…

Vertueux habitants, oubliez les écarts d’une âme presque sans tache. Face à face quelques instants. Appareiller à bord d’un lac. Furieuse, elle se lamentait intérieurement de ma mauvaise foi.

– Sire chevalier, à quoi bon en parler ?

– Ouvrez cette splendide bouche corsetée de métal et ses occupants trouveraient leur fin.

Illuminé de lanternes vénitiennes multicolores en guirlandes, au rythme de sa respiration. Dégoûté du monde à tous les regards.
– Trouve un bateau, je creusai une fosse et l’y pousser si puissamment, que les individus d’une même espèce, une règle constante et un bien plus joli dessous ! – Amenez-le, ou allez au diable, dans le jardin la nuit ! Prévenez-le cependant que, sous l’évocation constante de cette nudité impuissante, bonne désormais à vieillir sous les linges boueux et salis…

-Monsieur est couché, votre village !

-Vouloir les écouter, c’est autre chose ; mais madame la comtesse ? Chacune fait partie de l’île.

Avoir étudié la médecine, si, par un temps calme et serein. Posez une main sur le flanc, chercha au loin avec sa trompe et fit un geste impérieux, il arrêta son cheval et avait l’air vexé. Despotique et sensuel, en guise d’avertissement dédié à tous les yeux s’ouvrirent avec ce regard confiant qui donnait à la rivale préférée.

– Laissez-nous, s’il distribue à tous la dignité affirmée par la révolte ne va pas, princesse, après avoir galopé pendant une heure, alerte, éveillée, lustrée, avec des raisons d’argent jette de la défaveur sur une jeune imagination.

Loi de l’attraction, sans pourtant s’anéantir ; car elles sont polies, calmes et douces. Dites-lui tout cela de certain que la plupart s’écartèrent de son extrémité à l’autre soit en même temps sur tous les tons. Suscite beaucoup de curiosité de la foule de femmes et même des troupes en marche sur la route ; cette nuit, parce que je me retournai, espérant voir au passage l’aborda : c’était que l’honnête homme est tout bonnement un colombier. Là-dessus, le salut de tous, s’établir à l’état-major de la division des pouvoirs, et tout ira bien, tu n’aurais pas dû ouvrir ce cercueil.

– Passé, passé, tout ça… Pensez-vous, lui dit-il d’un son de chanson.

Agissant à la façon qu’ils puissent surveiller toutes leurs mines. Mettez la donc hors du lit de sa mère en mettant le pied sur ces planches si propres du navire, tout comme le gros de sa fortune. Aidez-moi, ma chère petite-fille. Supposons qu’il y ait au monde ; il n’entrait pas pour cela, il battait le chemin du pont ; toute la population des villes, et le commandement de sa maîtresse ! Lieutenant, et je constatai qu’elle cherchait vainement dans le noir de son chagrin pour s’occuper de la mienne que par des mots quelques agitations morales, mais notre troupe s’arrêta soudain au moment de ton existence.

dartagnanetles3mousquetairesLongtemps il la regarda quelques secondes en silence, comme un ruban d’ombre, un silence mortel…

– Et près de vous, répéta-t-il. Renseigné, comme toute chose terrestre ; et, loin d’attendrir la livrée ; et le sol fertile. Jetez-vous dedans la prochaine fois. Est-il donc si rare que je me promis d’épouser la cause du duel était en elle-même futile ?

Tranquillité du grand fleuve, le port avec plusieurs magasins d’approvisionnements et l’une de ses idées. Blousons verts et lacets blancs ou rouges, celui qui crée, sont du ressort de la famille…

– C’eût été me dénoncer moi-même, et c’est si ravissant ce petit opuscule, ce petit rigolo d’enfant mort ?
Passez-moi l’assiette, s’empare du pouvoir, la beauté, la terre au ciel ; c’est lui. Traversant la surface, auront tôt fait de la tectonique des pensées. Contemplez, et voyez si un mâle enfante. Muni de cartouches à balle… Singulier, en vérité je ne suis venu à obtenir cette fin. Prête l’oreille à la conversation du premier soit, dans certains cas, les voyageurs entrevoyaient un instant le bonheur lui sourie… Feu mon grand-oncle, son fils unique, qui n’attend plus rien…

Mère, qu’il finirait par étrangler quelque chef. Mauvaise race que ces gens aient pour courir une raison que je donnasse la préférence à la sienne et qu’elle ait tant d’épines sous ces roses ? Toutes ces idées étaient réparties, pour plus de précaution et de douceur répandues qu’elle commençait à sonner. Auparavant, et je rendis au tailleur l’argent qu’il gagne en raison chaque jour. Voient-elles de leurs compagnes, firent faire un berceau et vous projetant d’un pied l’un de vos fans ou de vos soupçons. Comptez-vous sérieusement soutenir que ces mémoires seraient incomplets si je n’y trouvai aucun monument digne d’attention. Mise à feu, du pont, une troisième répondait à ce salut que mon coeur était avide sans en savoir les éléments.

Ferez-vous un rapport en tout point la peinture de cour d’assises, et se levant pour alimenter le faucon. Fils d’un pauvre diable, on promet, on devient forgeron, en se servant d’arguments plus anodins, moins excitants, évidemment, de réserver les grosses ventes pour la fin.

– Était-il possible que quelque chose, à la boxe mais nul à la course, car il écrit, dit-elle.

– Interrogez, a-t-il ajouté, ses camarades de la rue.

Elle dessinait un pan coupé fort en retraite, avait un pressentiment ce soir, avec sa couverture. Debout, l’oreille et l’obliger à reconnaître, il grimpa sur l’estrade, pour le pauvre monde. Où étaient les bagages, les fait apparaître, l’espace et les traits mobiles, ils chuchotaient.

– Tâchons plutôt de passer une jambe.

Saluant le capitaine à tête de taureau était donné à moi. Taisez-vous, sur votre vie, vous seriez la femme du marin lui lava la figure. Consentez-vous à m’écouter, je suis persuadé qu’il ne méprisait pas les coiffures à la hennin, on estimait évidemment que sa vie fut belle ! Encouragé sans doute, tous espérant sans espérance, n’attendant rien de l’existence des femmes ; le silence était profond, mais les fonctions spécifiques utiles pour voyager. Céda-t-il à ces expansions d’une haine vivace, innée au cœur de cette jeune beauté, fille du roi. Tourné vers la gorge au point de leur convoitise. Obscurément, je vous embrasse !
Vis donc, malheureux, que toute lutte pour la vie ! Salut à toi, jusqu’à un niveau pour des raisons que j’ai laissé sans crainte mon âme à la française. Appelez-vous oisif celui qui, six semaines… Drogue, sexe, santé, intérêts, désirs de chacun. Aurais-tu deviné juste, les objets généraux, mais sur celui plus lointain de la ville entière, d’abord.

– Tuez-moi, je vous jurerai par les sept flambeaux continuaient à brûler. Décolletée jusqu’à la traiter en brave fille qui n’allait pas chez elle étaient le mouvement, c’était chez la baronne de Hollande.

Fut-ce enfin l’évidence d’une vérité, il se prend à un piège tout nu ! Est absolument bonne la volonté qui statue. Voyant les choses se termineraient ainsi, sans exiger ma confession. Charmé de faire votre ouvrage un agent capable, mais qui ne sont ni belles ni laides, ni jeunes ni vieilles, comme il restait tapi ou furetait aux lisières, il devait l’attendre, puis de son cœur.

– Chassez ces vains pressentiments, reprit la princesse.

Parlant ainsi, elle paraissait se réjouir dans leurs niches ; tous deux disant la bonne aventure que vous avez entendu ce bruit ? Amiral en chef de la famille et les messieurs d’alentour. Rendu à mes loisirs, ne songeraient plus à en douter. Caché dans les caves de sa maison une place forte qui compte, c’est gentil, en uniforme de la compagnie. Trouvez-vous ce soir vers dix heures du soir sonnèrent à l’église pour sortir, ce que ces fautes peuvent avoir de fusils. Pensif, il allongea la jambe pour me montrer petit, cher enfant, rendez-moi ma pièce.

– Voulez-vous priver un vieillard de haute taille qui venait d’entrer en ligne de compte ? Répéta-t-il maintes fois.

– Vieille, dis-je avec sincérité, comme une vraie caricature.

Comprenez que la langue spéciale appelle branchements. Donc son intervention avait produit un effet peu sensible. Certain avait-il l’air moqueur, il lui jeta ; et enfin toutes sortes d’armes et était suivie du service religieux. Convenable ou non, vous vous doutez bien de ce qui nous avait été enlevé. Gardez-vous, mes jeunes lecteurs, combien de patenôtres avons-nous déjà défilées ? Quelle a été leur conversation. Fureur de mon malade se calmait peu à peu parut et grandit un point noir, perdu au milieu de vous. Lui avait essayé de s’opposer à l’étrange ami que le tien. Mystère en cinq actes, complets quant au fond et périssent. Sauver un million que mon oncle croie ou ne croie pas avoir pénétré quelque chose des intentions de l’ennemi devait passer sur les quatre heures du matin que du soir.

– Arrêtons-nous, que je résolus de m’en instruire ; mais je m’en vais, adieu ! Ordre autographe, monsieur, ce sont de ces systèmes est l’objet de quelques cours préparés à la mort d’un implacable bourreau. Peu étonné, quand il arrivera à la coupable connivence des surintendants. Dites-lui que quelqu’un était entré, quelqu’un est-il dans la peine, et dans toute la vallée.

– Vieillard avare, te voilà, tu devrais être mort !

Bravo si vous avez terminé la lecture de ce picaresque roman… Bienvenue dans le monde des algorithmes. A vous de jouer ! 🙂

algorithme2

 

Publié le Fév 28, 2013

Voir le site pro ?

Tous les tableaux

Tous les articles

2 Commentaires

  1. ccampion

    Intéressant sujet qui mérite réflexion Francis, vous êtes vraiment un homme qui s’intéresse à toutes les matières générales et dans ces « périodes dites charnières », il y a tout intérêt à rester éveiller et vigilant tant les choses se sont compliquées et restent complexes.
    Bravo à vous et bravo aux lecteurs (j’ai dû imprimer le texte car à l’écran j’ai dû mal à lire)
    Ce n’est pas pour demain qu’on supprimera les livres. Et c’est tant mieux !
    Bon week end à vous

    Réponse
  2. Fran

    L’Hermitage

    Situé en Russie, au centre de Saint-Péterboursg, le musée Hermitage demeure à ce jour le plus grand musée du monde en terme de collections. Ce magnifique complexe, composé de multiples bâtiments imposants, compte 60 000 oeuvres originales et garde 3 millions d’objets à l’abris.

    Situé au centre de Saint-Péterboursg, le musée Hermitage possède la plus large collections au monde.

    Situé au centre de Saint-Péterboursg, le musée Hermitage possède la plus large collections au monde.

    Construit au XVIII, l’Hermitage est le symbole même de la grandeur de la Russie à cette époque. Catherine II, impératrice russe passionnée d’art, acquis par elle-même plus de la moitié des oeuvres présentes encore actuellement dans ce mythique musée. Après la révolution soviétique, la galerie Hermitage reçu diverses créations d’impressionnistes du….lire ici la suite http://saintpetersbourg.fr/lhermitage/

    Réponse

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *